16 février 2012
Premier jour à Dhaka.
Après être sortis de l'aéroport de Dhaka, gros choc. Tout d'abord, l'air, suffoquant, pollué. Ensuite, tous ces gens aggripés au grillage, en attente d'un éventuel cadeau. Dans quel monde sommes-nous entrés? Un monde où la priorité des piétons et des vélos n'existent pas, et où tout est quasiment resté à l'état sauvage. J'y retrouve, dans cette pauvreté, une certaine beauté, dans le sens où tout est naturel, où rien n'a été industrialisé. Ces gens n'ont rien, et pourtant, en nous voyant, c'est de joie que pétillent leurs yeux, et du bonheur qu'on voit dans leur sourire. Une première journée enrichissante, instructive et vivifiante! Quel dépaysement.
Aurélie.
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